La communauté d’affaire se joint au Défi Pissenlits!

« Je suis fier de voir que le mouvement citoyen en faveur des pollinisateurs s’est étendu jusqu’à notre communauté d’affaires. On constate maintenant que certains de nos commerces aussi choisissent de s’afficher et de poser un geste concret pour l’environnement! », a lancé le maire Diego Scalzo, alors que Warwick entame sa cinquième participation au Défi Pissenlits.

 

La conseillère municipale et co-responsable du dossier environnement, Noëlla Comtois, explique que le Défi Pissenlits consiste à retarder la première tonte du gazon pour laisser les fleurs spontanées, comme les pissenlits, nourrir les insectes pollinisateurs en début de saison. « En retardant la tonte, on leur offre un véritable buffet printanier, pile au moment où ils en ont le plus besoin! Laisser les pissenlits pousser sur son gazon ce n’est pas de la négligence, c’est un petit geste en faveur de la biodiversité », a-t-elle souligné.

 

De son côté, la gestionnaire de la Clinique dentaire de Warwick, Sophie Poisson, précise que l’engagement de l’établissement s’est imposé comme une évidence.  « Je tenais à ce qu’on fasse notre part en matière d’environnement, mais aussi à contribuer au changement de perception qu’on a des pissenlits. En installant notre affichette devant la clinique, on espère faire réfléchir et donner envie à d’autres commerces d’embarquer eux aussi », a-t-elle mentionné.

 

Le maire souligne que cette année, la Ville souhaitait aller un peu plus loin pour encourager la participation. « En plus de notre engagement habituel, on offre gratuitement aux citoyens des affichettes « Fier partenaire du Défi Pissenlits » accompagnées d’un sachet de semences de tournesol à planter chez soi. C’est une belle façon d’ajouter un peu de couleur à son terrain tout en donnant un coup de pouce aux pollinisateurs. Cette initiative s’ajoute à d’autres gestes concrets que nous posons à Warwick comme le verdissement des espaces publics ou notre soutien à l’agriculture de proximité. Je suis fier de dire qu’à Warwick, on fait évoluer notre culture un printemps à la fois! », a-t-il conclu.